L’assurance décès : plus d’inconvénients que d’avantages ?

On parle de plus en plus de l’assurance décès ces dernières années, à un tel point que l’on ne peut s’empêcher d’y penser et de s’y intéresser, vu les différents avantages que l’on énumère à son sujet. Cependant, il ne faut pas trop vous emballer, car elle présente aussi son lot de désavantages, ce qui mérite réflexion, avant de se ruer vers sa souscription.

Se renseigner davantage sur l’assurance décès

En effet, avant même de prendre une quelconque décision, il est nécessaire à chacun de se faire à l’idée que le meilleur moyen de déterminer le type d’assurance décès à souscrire est de se renseigner au maximum à son sujet. Pour ce faire, vous devrez consulter bon nombre d’experts, à l’image de ce que https://www.monassurancedeces.com/avantages-inconvenients/ propose à ses visiteurs. Toutefois, pour bien assurer votre choix, il vous est aussi préférable de faire un tour sur les différents forums de discussion et d’entraide, ainsi que les blogs qui y sont centrés. Cela vous aidera à mieux comprendre les impressions des actuels et anciens bénéficiaires d’une assurance décès, et qui ne manque pas de faire part de leur retour, sur les différents assureurs et leurs offres.

Pourquoi est-il préférable de souscrire à une assurance décès ?

Pour ceux qui peuvent encore l’ignorer, ou ceux qui le prennent encore comme étant une assurance vie, une assurance décès est n’est purement qu’un simple contrat de prévoyance. En tant que produit de prévoyance, elle s’assure donc à ce que vous vous en sortez vainqueur à chaque fois, et cela, même face à votre propre décès. Beaucoup sont effectivement ceux qui ont tendance à sous-estimer la mort de nos jours, et ne sont pas assez vigilants, alors que cette dernière nous prend toujours en traitre dès qu’elle en a l’occasion. De ce fait, il est nécessaire à chacun de souscrire à une assurance décès, afin de s’assurer premièrement que ses enfants ou le reste de sa famille puissent s’en sortir socialement après votre décès. D’autant plus que si vous décidez de cocher la case invalidité lors de votre souscription, vous pouvez aussi toucher l’intégralité de vos cotisations de votre vivant même, suite à une perte d’autonomie. Cependant, si vous avez des doutes sur l’intégrité de votre héritier désigné, vous pouvez aussi bloquer votre capital et le reverser en rente à l’université, pour assurer les études supérieures de vos enfants.

Les bémols à ne pas négliger

Évidemment, vu que parfait n’existe pas, et que les assureurs sont sur le web pour se faire du profit, même un minimum, il existe alors certains points assez troublants, concernant la souscription à une assurance décès. Toutefois, cela dépend de la vigilance de chacun, sachant que le problème et la solution se trouvent premièrement au niveau de la signature du contrat. Pour expliciter, une clause sur le contrat stipule le fait qu’une personne ayant dépassé la limite d’âge imposée par l’assureur devra quitter le groupe, et d’oublier l’intégralité de ses cotisations. Et d’un autre côté, certains assureurs ne l’exigent pas, ou offrent une limite assez convenable allant jusqu’à 80 ans et plus, laissant une marge considérable. Le comble dans cette histoire, c’est que même si vous y avez souscrit au plus jeune de votre âge, et que votre capital a été très vite arrivé à son terme, si vous n’êtes pas mort dans les années qui précèdent la limitation d’âge, vous risquez de tout perdre. Vous aurez la joie d’être en vie, mais vous ne percevrez aucune redistribution de votre capital, ce qui est tout à fait intolérable.

De ce fait, avant de vous pencher sur le choix d’un tel ou tel assureur, assurez-vous d’avoir pris conscience de ces instructions pour ne fausser aucun de vos calculs.